Nous sommes en 2024 et votre smartphone est votre meilleur ami (financier) – avouons-le. Vous n’êtes qu’à un simple glissement ou défilement de vos applications bancaires mobiles, de vos services d’investissement numérique ainsi que du financement participatif, des prêts peer-to-peer, des conseils financiers automatisés et de l’achat de n’importe quelle monnaie virtuelle. Mais comment tout cela est-il arrivé ?
Eh bien, au cours des deux derniers siècles, les progrès technologiques rapides ont transformé presque tous les aspects de nos vies. Sans surprise, le secteur financier a non seulement suivi le rythme de cette révolution technologique, mais a également prospéré grâce à des innovations telles que l’informatique et l’automatisation. À la suite de la crise financière mondiale de 2008, le secteur a connu un changement important, adoptant des technologies plus stables et plus sécurisées pour restaurer la confiance et atténuer les risques. Cette réponse était cruciale, car de nombreuses institutions historiquement solides ont été confrontées à d’immenses pertes en termes de liquidité et de crédibilité, ce qui a conduit à une réévaluation des pratiques traditionnelles.
Le système financier traditionnel s’effondrait dans son intégralité. Malgré tout, la « révolution numérique » financière était en marche.
La révolution numérique
La « révolution numérique » a bien sûr eu lieu à la suite de la crise financière. À ce moment-là, le monde a commencé à rechercher de nouvelles opportunités et de nouvelles façons de faire des affaires.
De nouvelles entreprises au visage nouveau ont commencé à voir le jour, profitant du flot des technologies de l’information et de la communication. Ces start-ups en développement menaçaient à juste titre le système obsolète existant, qui mettait du temps à s’adapter aux désirs et aux besoins des foules en évolution du 21e siècle.
Le système financier numérique autrefois « non conventionnel » offre désormais aux individus la possibilité de travailler de manière autonome au sein du secteur. La « technologie financière », également abrégée en « fintech », fait référence à une fusion singulière de services financiers traditionnels et de technologies de l’information modernes, née d’une pensée créative et d’un effort visant à changer la façon dont les individus pourraient aborder les finances personnelles et professionnelles, ainsi que le concept radical de « finance inclusive », qui a été développée par les Nations Unies dans le but spécifique de fournir une accessibilité égale aux services financiers pour tous les individus dans le monde.
La superstar britannique de la Fintech Lanistar et son leader Gurhan Kiziloz
Lanistar a changé la façon dont les gens interagissent avec les systèmes financiers depuis sa création au début de 2020. La société au logo étoilé a été fondée en tant que nouvelle start-up fintech britannique par Gurhan Kiziloz, millionnaire autodidacte et un petit groupe d’individus brillants qui avaient de grands rêves et de grandes aspirations.
Lanistar est une plateforme unique qui offre à ses utilisateurs la possibilité de regrouper toutes leurs différentes cartes bancaires en un seul compte. C’est jeune, c’est rapide, c’est sécurisé, c’est en pleine croissance et cela donne du fil à retordre aux sociétés établies Revolut et NuBank. Pourquoi? Parce qu’il est prévu que d’ici le printemps 2025, Lanistar atteindra une clientèle de plus d’un million d’utilisateurs dans le monde, entrant ainsi dans la région d’une valeur d’un milliard. Un exploit incroyable dans l’économie de marché actuelle pour une startup fintech qui vient tout juste d’éteindre les bougies célébrant sa troisième année d’activité.
Gurhan Kiziloz, cerveau derrière le projet et ancien PDG, est ravi des progrès réalisés par son entreprise, ainsi que de la nouvelle expansion sur les marchés brésiliens et, bien sûr, de toutes les mesures prises par la fintech pour atteindre une clientèle plus large – « Bientôt, une carte Lanistar sera tangible dans tous les portefeuilles, c’est notre objectif » dit-il. Après deux années très difficiles et une campagne de diffamation médiatique à son encontre, Lanistar reçoit enfin l’attention qu’elle mérite, se bâtissant une réputation enviable dans le secteur mondial des services financiers.
Comment Gurhan Kiziloz a-t-il lui-même réussi à sortir Lanistar de la faillite et à lui rapporter (près) des milliards ? La réponse est : de bonnes idées. L’idée principale du millionnaire désormais basé à Dubaï était de prévoir l’avenir du marketing d’influence et fusionner cela avec la banque numérique – une idée originale qui s’est désormais largement répandue sur le marché des solutions numériques. Lanistar a fait appel à ses micro-influenceurs de jeu, pariant sur leur portée et la puissance des tendances croissantes des médias sociaux. Ces noms incluent des footballeurs de Premier League, des influenceurs de mode et de style de vie, et bien plus encore.
Une idée révolutionnaire pour un système financier révolutionnaire, le tout motivé par l’énergie imparable, la générosité, les grandes ambitions et les rêves encore plus grands de richesse partagée et de connexions économiques fiables de Gurhan ont constitué la base du projet. La plus grande « révolution numérique » du Royaume-Uni. Même si l’intégration et l’inclusion financières de tous à travers le monde ne sont pas encore une réalité générale, les startups comme Lanistar continue d’ouvrir la voie, en rendant les services bancaires accessibles et en façonnant l’histoire d’une manière indispensable.
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