Maximalisme, minimalisme et erreur du juste milieu | par nopara73 | novembre 2025
Un groupe d’ouestistes traversant vers l’ouest. Ils atteignent des terres de plus en plus belles, jusqu’à la Californie. Beaucoup d’entre eux souhaitent aller encore plus à l’ouest, vers la mer. Certains d’entre eux resteraient cependant sur place, car ils ont peur de se noyer. Le contre-argument des autres suit bientôt : « vous êtes des connards orientalistes maintenant ?
C’était une parabole racontée par Balaji Srinivasan dans l’émission de Peter McCormack, plaidant contre la position du maximalisme. Il pense que nous devrions plutôt éviter les extrêmes et nous qualifier d’optimistes.
J’ai bien le droit de nous qualifier d’optimistes, mais il y a des moments où la solution optimale se situe à un extrême. Considérez la parabole suivante :
Un groupe ne veut pas de génocide, l’autre groupe veut un génocide complet, donc nous prenons la voie du milieu, faisons des compromis et n’avons qu’un petit génocide.
C’est pour le minimalisme. Et le maximalisme ? Une parabole peut-elle défendre cette position ? Bien sûr, cela peut :
Une porte est coincée.
Si on pousse doucement, rien ne se passe.
Si on pousse plus fort, toujours rien.
Seulement quand tu pousses tout le chemin Est-ce qu’il finit par éclater.
Morale de l’histoire : les paraboles et les métaphores ne sont pas des arguments solides. Traitez-les avec méfiance, en particulier dans les podcasts – je dis ceci en tant que personne qui en héberge un :
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